Honnetement, pour quelqu’un qui habite depuis longtemps ici, je dois dire que je peux trouver a Munich une bonne partie des choses qui sont proposees dans la liste. Il suffit juste de savoir dans quel magasin les trouver, et ils ne sont pas forcement tres chers (surtout si on prend en compte le cout pour faire venir les produits de france de la future epicerie). Certains sont meme moins chers (pate feuilletee par exemple).
Personnellement faire 7 ou 8 magasins différents pour trouver ce dont j’ai envie, je trouve ca bof et j’ai pas le temps.
Et j’ai beau apprécier certains produits allemands, niveau nourriture j’ai quand même parfois du mal. C’est très peu diversifié, parfois juste infect, quand ce n’est pas inexistant. On vit en Allemagne, on s’adapte, on découvre des produits mais on reste Français, on a des trucs qui nous manquent et on veut les avoir. On a des habitudes qu’on a du malà changer ou qu’on ne veut pas changer, c’est comme ca
Je trouve que jkinana à une bonne idée , on peut s’intégrer au pays mais il manque toujours des choses de chez nous… Le projet est génial et je suis sur que beaucoup de personne seront intéréssée par ton idée jkinana
De plus, je pense que vous proposerais des produits de qualité et des transports de marchandises plusieurs fois par mois?
Il y aurait un ou deux transports par mois, en fonction du nombre de commandes. Je mettrais en place une newsletter pour informer sur les produits, les delais pour la liste de course et la date de la livraison.
Pour la qualité: le client choisi, pour les produits que cela concerne, s’il souhaite un produit sous emballage de telle ou telle marque ou s’il préfère que ça vienne directement du magasin (boucherie, fromagerie…). Dans la mesure du possible évidemment.
Sans vouloir te décourager, je ne suis pas sûre que ce soit vraiment viable ou rentable pour toi (sinon, pourquoi l’épicerie française « la petite France » aurait-elle fermé?). Comment comptes-tu faire une marge intéressante qui ne se répercute pas trop sur le prix des produits? Pour ma part, je rachète ce dont j’ai besoin à chaque retour en France ou je me le fais ramener par des amis.
Je souhaite néanmoins bon courage et tout le succès possible à ton entreprise!
La Petite France a fermé parce que les prix étaient exorbitants. Je veux bien payer plus cher parce qu’on ne trouve pas le produit ici, et parce que le loyer des locaux ici sont eux aussi exorbitants mais faut pas non plus prendre les gens pour des boulets.
Je proposerais les produits aux prix français, il n’y aura qu’a payer la livraison, qui sera comprise entre 6 et 8 euro (soit le tarif normal de n’importe quel livraison de la France à la Germanie). Il n’y aura qu’un camion ou 2 dans le mois. L’essence ne coûte pas grand chose (55euro aller-retour) c’est très vite rentabilisé. Pas de chauffeur à payer, mon associé roule. On aura très peu de taxes et impôts a payer au vu du peu qu’on gagnera. Le but ce n’est pas de me remplir les poches mais d’avoir régulièrement des produits que je ne trouve pas ici, et tant qu’a faire, autant en faire profiter tout le monde.
Et qui sait, ca va ptetre cartonner. Je vais faire fortune en proposant ce genre de service dans toute l’Europe Départ Ringis, direction les grandes villes Europeennes, en camion, en musique et je vois du pays. Que demande le peuple
Par contre, un des principaux risques à mon avis serait de se focaliser uniquement sur la communauté francophone qui vit à Munich ou dans les environs. Certes, il s’agit de plusieurs milliers de personnes, mais :
Ce n’est un si grand groupe de clients potentiels
La plupart des français vivant à Munich font au minimum une ou deux fois par an l’aller retour entre la France et Munich et font eux même leur ravitaillement en France.
Pour palier un tel risque, il vous serait peut-être préférable d’élargir autant que possible votre cible de clients potentiels : les allemands. Donc : faire une newsletter en français + une newsletter en allemand + de la publicité en ligne dans les deux langues (pub sur Leo, sur Muenchen.de, dans des journaux de la région par exemple).
On le voit avec la Petite France, des prix élevés peuvent être un problème. Mais il y a aussi d’autres exemples de petits coins français à Munich qui fonctionnent très bien. Lorsque je vais par exemple à la boulangerie pâtisserie française « Amandine et Chocolats » de Grünwald, je suis frappé par la proportion de clients allemands. Je pense d’ailleurs qu’il n’y a presque qu’une clientèle allemande et que les français qui veulent des vraies baguettes, croissants ou éclairs représentent une part marginale de leur clients. Leur succès est certainement dû à une qualité au top ! Mais comme dit, leur clientèle semble être allemande avant tout.
Je vous souhaite bonne chance et beaucoup de succès à votre entreprise !
L’idée peut marcher oui. De toute façon, la plupart des projets peuvent être mis en oeuvre et fonctionner. Il suffit de mettre tout en place pour. Une bonne présentation des services et produits, une bonne communication, …
Pour des produits alimentaires, je te conseille de très bien soigner leur présentation. Il faut qu’ils donnent envie et confiance.