Fallait y être aux moments des faits pour pouvoir interviewer des gens. Y’avait bien des blessés ou des personnes proches des victimes ou des personnes blessées à questionner. Manque de culots evidents. Ou manque de temps. En tout cas c’est pas comme ça que les journaliste gagnent leur vies actuellement. Sur ce j’éspère que quelqu’un aura pu vous aider dans votre travail. « Cordialement »,